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Le conseil départemental des Alpes-Maritimes déclare qu’il est obligé de couper ses réseaux, car il a été victime d’une cyberattaque. Les enquêtes sont en cours.

Jeudi dernier, le conseil départemental des Alpes-Maritimes a déclaré, qu’il a été forcé d’intercepter ses réseaux, pour lutter contre une cyberattaque. Cette coupure consiste à conserver les informations sensibles et à enfermer son système informatique. Pour cela, la collectivité a indiqué, lors d’un communiqué de presse qu’une plainte a été déjà déposée et une notification a été remise à la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil). Elle a ajouté que lors de l’attaque les professionnels de la Direction des services numériques (DSN) ont tout de suite lancé une cellule de crise pour éviter l’expansion du virus, mais elle n’a pas mentionné l’heure précise de l’attaque.

La collectivité a annoncé que l’analyse globale de l’attaque est toujours en cours, mais le dynamisme de la réponse aide à prétendre qu’aucune formation n’a pas été plagiée. En fait, les serveurs du conseil départemental, contrôle particulièrement l’action sanitaire et sociale, au profit des seniors, des handicapées, de l’enfance et de la famille ainsi que des personnes en difficulté.

Pour découvrir plus d’informations, concernant les incidents éventuels, le département et l’Orange cyberdéfense ainsi que l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information collaborent ensemble. Même si les réseaux sont coupés, et que la date de la restauration reste imprécise, les missions et services publics de la collectivité sont toujours actifs.